Forum Peinture à l'huile & acrylique: The new wave...

The new wave...

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pefusho
The new wave...
Il y a 20 ans
Bsr à tous,
J'assiste sur ce forum, depuis quelques jours, à un phénoméne interessant : l'arrivée de nouveaux amis sympathiques et pertinents.
Franse, Tidus, Titounou, Le furtif, Flaoua, AkoZ...Si j'en oublie, qu'ils m'excusent.
Ils donnent leur avis sans se préocupper de l'antériorité de respectables anciens qui ont dit ceci il y a 2 ans et à qui on a répondu celà, ce qui fait que désormais pour bien comprendre leurs post, il faut tenir compte de ce vénérable historique.
Eux disent : on aime, on n'aime pas.
Moi, j'aime bien.
Nombre d'entre eux nous montrent de vrais talents.
Perso, je leur souhaite une trés sincére bienvenue.
Réjouissons nous de ce brassage vivifiant, signe de la bonne santé de ce forum.
Pefusho.
Nb - Ce que je vous poste est livré plutôt comme un constat que comme une discussion, aussi pour ouvrir le débat je vous demanderai plutôt : que pensez vous de cette sympathique "new wave"?
Er pour élargir un peu plus la discussion , je demanderai à nos nouveaux amis : que pensez vous de notre forum?


titounou
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Tout dabord , Jean jacques, je tiens a te remercier pour ce chaleureux acceuil !
Merci egalement a tous les membres de ce forum , dont la varieté et la diversité des talents fait plaisir a voir,,,c'est avec une emotion non dissimulée, que je viendrai partager avec vous tous mes modestes travaux, souhaitant qu'ils vous apportent sinon du plaisir, du moins une vague de legereté , et qu'elle consacre l'art comme je l'ai toujours aimé : libre !

thierry ... surf's up !!
AkoZ
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Ah si l'on pouvait savoir combien sont ici ?
Je vois bien que beaucoup se connaissent, ...trop. C'est comme un petit village, parce qu'il y a encore des ralleries, et ça sonne dans comme une rue où le pépé il a besoin de dire ce qui lui plait pas et où la mama se laisse pas lancer des ballons dessus !
J'en ai même oublié de dire bonjour tellement je passe d'un blog à un forum à un chat, parfois trop souvent en english...
et ça fait du bien de revoir des gens qui parlent aussi le françois d'là ici...
C'est presqu'un choc d'anachronisme, une technologie appropriée pour des besoins de communauté, de bon vivre...etc, Vous êtes acclimaté à ce système et c'en est remarquable. Alors merci de votre accueil et bonjour dans vos chaumières.
AkoZ°om

ps: j'adorrrreeeeeee la CCCCOOORRRRSSSEEEE !

----- pefusho a écrit -----
Bsr à tous,
J'assiste sur ce forum, depuis quelques jours, à un phénoméne interessant : l'arrivée de nouveaux amis sympathiques et pertinents.
Franse, Tidus, Titounou, Le furtif, Flaoua, AkoZ...Si j'en oublie, qu'ils m'excusent.
Ils donnent leur avis sans se préocupper de l'antériorité de respectables anciens qui ont dit ceci il y a 2 ans et à qui on a répondu celà, ce qui fait que désormais pour bien comprendre leurs post, il faut tenir compte de ce vénérable historique.
Eux disent : on aime, on n'aime pas.
Moi, j'aime bien.
Nombre d'entre eux nous montrent de vrais talents.
Perso, je leur souhaite une trés sincére bienvenue.
Réjouissons nous de ce brassage vivifiant, signe de la bonne santé de ce forum.
Pefusho.
Nb - Ce que je vous poste est livré plutôt comme un constat que comme une discussion, aussi pour ouvrir le débat je vous demanderai plutôt : que pensez vous de cette sympathique "new wave"?
Er pour élargir un peu plus la discussion , je demanderai à nos nouveaux amis : que pensez vous de notre forum?


aquarelle54
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
hi pefu,

nous savons bien, que je fais partie des vieilles et vieux d' ici :) et que par la même ta question ne s'adresse à moé!!! m'en fiche, j'y répondrai quand même en vous disant ceci et notemment à Azzoz, non on ne se connait jamais "trop", comme on ne regarde jamais "trop" un tableau qu'on aime, parce que plus on le regarge et plus il nous révèle de ses petits secrets qu'on n'avait pas perçus au premier regard... ici c'est idem, untel va passer, nous montrer, on va réagir ou pas, selon nos gouts, nos humeurs, selon notre etat d'esprit du moment...et puis je dirais qu'il faut que le regard s'habitue pour aprecier pleinement la créativité d'autrui...tu vois, Pefu, Ambre semblait colère, il y a quelques jours parce que son travail ne recevait que peu de commentaires, mais c'est vrai que même si je prends le temps de regarder chaque post, quand un ancien (oui je sais c'est gonfflant) un c128,une Ann, un pat, un Raph, une Freesia poste un tableau, mon regard est habitué à leur travail, j'y préterai donc une attention plus particulière... et puis, nous ne sommes pas que des images livrées à la critique, nous sommes humains, et par les années passées, nous avons appris à nous connaitre dans nos sensibilités diverses, donc aussi à nous reconnaitre... ceci dit pour respirer, il faut de l'air frais, et les nouveaux venus nous en amènent, redonne un coup de fouet chaque fois au forum, certains n'y passeront que quelques jours d'autres comme toi ou blanche Lorelei y resteront et viendront agrandir le cercle des anciens... je vous ferai remarquer aussi, que lorsqu'une vague de nouveaux vient agrandir le cercle, nous, les anciens, nous faisons souvent plus discrets pour laisser la place et le temps aux uns et aux autres de se connaitre... Bref , bienvenus à tous ici, à tous ceux qui font vivre cet espace, cet autre ailleurs ou il est vrai on retrouve aussi les petites mesquineries, et les bagarres, mais aussi les amitiés, les rapprochements, les ouvertures... une petite part de vie... un rien de plus dontje remercie encore Ludo de nous l'avoir permis...
Amicalement à Tous
Isa
pefusho
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Ma chère Aqua,
Je ne pense pas que tu fasses partie des "vieux et vieilles d'ici", mais plus certainement des "anciennes " de ce forum :-)
Ceci dit, tu as parfaitement raison, tu as du voir passer de nouveaux arrivants qui n'auront été que des oiseaux de passage.
On connait et on apprécie toujours mieux ses vieux amis que ses nouveaux voisins.
C'est tout à fait normal.
Je ne peux moi même apprécier le talent ou la personnalité de quelqu'un qu'aprés avoir vu nombre de ses oeuvres et la teneur de ses post.
Car tout celà est lié et forme un ensemble.
Je ne trouve pas d'exemple dans ce forum d'amis qui peignent bien et s'expriment mal.
Force est de constater que ceux qui s'expriment mal peignent de même.
Il n'y a dans mes propos aucune malveillance ni visée personnelle.
C'est un constat.
L'expression picturale n'est qu'une expression de la personnalité parmi beaucoup d'autres. Il est antinomique et impossible d'exprimer une personnalité sereine, à la fois, par une peinture abouti et des propos qui ne le sont pas.
J'arrête là ces disgressions "philo/café du commerce" qui mériteraient une nouvelle discussion pour t'embrasser bien fort.
Bien à toi.
JJ.



----- aquarelle54 a écrit -----

hi pefu,

nous savons bien, que je fais partie des vieilles et vieux d' ici :) et que par la même ta question ne s'adresse à moé!!! m'en fiche, j'y répondrai quand même en vous disant ceci et notemment à Azzoz, non on ne se connait jamais "trop", comme on ne regarde jamais "trop" un tableau qu'on aime, parce que plus on le regarge et plus il nous révèle de ses petits secrets qu'on n'avait pas perçus au premier regard... ici c'est idem, untel va passer, nous montrer, on va réagir ou pas, selon nos gouts, nos humeurs, selon notre etat d'esprit du moment...et puis je dirais qu'il faut que le regard s'habitue pour aprecier pleinement la créativité d'autrui...tu vois, Pefu, Ambre semblait colère, il y a quelques jours parce que son travail ne recevait que peu de commentaires, mais c'est vrai que même si je prends le temps de regarder chaque post, quand un ancien (oui je sais c'est gonfflant) un c128,une Ann, un pat, un Raph, une Freesia poste un tableau, mon regard est habitué à leur travail, j'y préterai donc une attention plus particulière... et puis, nous ne sommes pas que des images livrées à la critique, nous sommes humains, et par les années passées, nous avons appris à nous connaitre dans nos sensibilités diverses, donc aussi à nous reconnaitre... ceci dit pour respirer, il faut de l'air frais, et les nouveaux venus nous en amènent, redonne un coup de fouet chaque fois au forum, certains n'y passeront que quelques jours d'autres comme toi ou blanche Lorelei y resteront et viendront agrandir le cercle des anciens... je vous ferai remarquer aussi, que lorsqu'une vague de nouveaux vient agrandir le cercle, nous, les anciens, nous faisons souvent plus discrets pour laisser la place et le temps aux uns et aux autres de se connaitre... Bref , bienvenus à tous ici, à tous ceux qui font vivre cet espace, cet autre ailleurs ou il est vrai on retrouve aussi les petites mesquineries, et les bagarres, mais aussi les amitiés, les rapprochements, les ouvertures... une petite part de vie... un rien de plus dontje remercie encore Ludo de nous l'avoir permis...
Amicalement à Tous
Isa
aquarelle54
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
oui Pefu, tu résumes très bien... et je suis tout à fait en accord avec tes propos... maintenant , on va pas philosopher des heures, because il se fait tard, et que j'ai les nyeux nyeux qui picottent!!!! ceci dit ta reflexion était interessante, et j'aime beaucoup l'humour sous jacente de tes posts..
Alors je te souhaite une bonne nuit
bisous JJ
Isa
pefusho
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Saludas AkoZ,
Non seulement ta peinture est top "overground", mais en plus tu parles comme un Confucius italien.
"C'est comme un petit village, parce qu'il y a encore des railleries, et ça sonne dans comme une rue où le pépé il a besoin de dire ce qui lui plait pas et où la mama se laisse pas lancer des ballons dessus !"
Amis de la communauté de "super art le site de l'artiste" voilà un garçon qui décrit avec des mots ce qui serait susceptible de nous représenter en peinture.
Salutations respectueuses.
Et à toi mon cher AkoZ, puisque tu aimes la Corse,
Je te dis fraternelement : "Pacce e salute"
Pefusho
----- AkoZ a écrit -----

Ah si l'on pouvait savoir combien sont ici ?
Je vois bien que beaucoup se connaissent, ...trop. C'est comme un petit village, parce qu'il y a encore des ralleries, et ça sonne dans comme une rue où le pépé il a besoin de dire ce qui lui plait pas et où la mama se laisse pas lancer des ballons dessus !
J'en ai même oublié de dire bonjour tellement je passe d'un blog à un forum à un chat, parfois trop souvent en english...
et ça fait du bien de revoir des gens qui parlent aussi le françois d'là ici...
C'est presqu'un choc d'anachronisme, une technologie appropriée pour des besoins de communauté, de bon vivre...etc, Vous êtes acclimaté à ce système et c'en est remarquable. Alors merci de votre accueil et bonjour dans vos chaumières.
AkoZ°om

ps: j'adorrrreeeeeee la CCCCOOORRRRSSSEEEE !

----- pefusho a écrit -----
Bsr à tous,
J'assiste sur ce forum, depuis quelques jours, à un phénoméne interessant : l'arrivée de nouveaux amis sympathiques et pertinents.
Franse, Tidus, Titounou, Le furtif, Flaoua, AkoZ...Si j'en oublie, qu'ils m'excusent.
Ils donnent leur avis sans se préocupper de l'antériorité de respectables anciens qui ont dit ceci il y a 2 ans et à qui on a répondu celà, ce qui fait que désormais pour bien comprendre leurs post, il faut tenir compte de ce vénérable historique.
Eux disent : on aime, on n'aime pas.
Moi, j'aime bien.
Nombre d'entre eux nous montrent de vrais talents.
Perso, je leur souhaite une trés sincére bienvenue.
Réjouissons nous de ce brassage vivifiant, signe de la bonne santé de ce forum.
Pefusho.
Nb - Ce que je vous poste est livré plutôt comme un constat que comme une discussion, aussi pour ouvrir le débat je vous demanderai plutôt : que pensez vous de cette sympathique "new wave"?
Er pour élargir un peu plus la discussion , je demanderai à nos nouveaux amis : que pensez vous de notre forum?


paintit
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
la nouvelle vague décoiffe à fond... J'adore...
bienvenue encore une fois aux quelques nouveaux qui ont présentés des travaux anciens ou récents. J'aime beaucoup l'originalité conceptuelle de Akoz. J'aime la tour médievale pour le furtif.
Pour ceux qui n'ont pas encore posté de travaux, on attend avec impatience...




----- pefusho a écrit -----

Bsr à tous,
J'assiste sur ce forum, depuis quelques jours, à un phénoméne interessant : l'arrivée de nouveaux amis sympathiques et pertinents.
Franse, Tidus, Titounou, Le furtif, Flaoua, AkoZ...Si j'en oublie, qu'ils m'excusent.
Ils donnent leur avis sans se préocupper de l'antériorité de respectables anciens qui ont dit ceci il y a 2 ans et à qui on a répondu celà, ce qui fait que désormais pour bien comprendre leurs post, il faut tenir compte de ce vénérable historique.
Eux disent : on aime, on n'aime pas.
Moi, j'aime bien.
Nombre d'entre eux nous montrent de vrais talents.
Perso, je leur souhaite une trés sincére bienvenue.
Réjouissons nous de ce brassage vivifiant, signe de la bonne santé de ce forum.
Pefusho.
Nb - Ce que je vous poste est livré plutôt comme un constat que comme une discussion, aussi pour ouvrir le débat je vous demanderai plutôt : que pensez vous de cette sympathique "new wave"?
Er pour élargir un peu plus la discussion , je demanderai à nos nouveaux amis : que pensez vous de notre forum?


pefusho
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Salut à toi Hervé,
Là je suis d'accord.
On est gatés et on a vu 2 ou 3 trucs qui cassent la baraque.
Allez y les enfants, postez nous ce que vous nous cachez encore!
On attend ça comme des gourmandises.
Attention : on vous dira quand même ce qu'on en pense ;-)
Bien à vous.
Pefusho.


----- paintit a écrit -----

la nouvelle vague décoiffe à fond... J'adore...
bienvenue encore une fois aux quelques nouveaux qui ont présentés des travaux anciens ou récents. J'aime beaucoup l'originalité conceptuelle de Akoz. J'aime la tour médievale pour le furtif.
Pour ceux qui n'ont pas encore posté de travaux, on attend avec impatience...




----- pefusho a écrit -----

Bsr à tous,
J'assiste sur ce forum, depuis quelques jours, à un phénoméne interessant : l'arrivée de nouveaux amis sympathiques et pertinents.
Franse, Tidus, Titounou, Le furtif, Flaoua, AkoZ...Si j'en oublie, qu'ils m'excusent.
Ils donnent leur avis sans se préocupper de l'antériorité de respectables anciens qui ont dit ceci il y a 2 ans et à qui on a répondu celà, ce qui fait que désormais pour bien comprendre leurs post, il faut tenir compte de ce vénérable historique.
Eux disent : on aime, on n'aime pas.
Moi, j'aime bien.
Nombre d'entre eux nous montrent de vrais talents.
Perso, je leur souhaite une trés sincére bienvenue.
Réjouissons nous de ce brassage vivifiant, signe de la bonne santé de ce forum.
Pefusho.
Nb - Ce que je vous poste est livré plutôt comme un constat que comme une discussion, aussi pour ouvrir le débat je vous demanderai plutôt : que pensez vous de cette sympathique "new wave"?
Er pour élargir un peu plus la discussion , je demanderai à nos nouveaux amis : que pensez vous de notre forum?


pefusho
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Salut à tous,
Bon, je vais faire de la retape pour animer, je l'espére, le forum et valider ce post.
A part Aqua et hervé, aucune réponse des "anciens " à la question : que pensez vous de cette sympathique new wave?
Vous dormez?
Vous accomplissez le devoir conjugal et faire 2 choses à la fois pourrait nuire à votre concentration?
Vous passez longuement vos doigts dans votre vénérable barbe blanche en réfléchissant à la réponse la mieux adaptée (la barbe blanche ne marche que pour les hommes, les dames peuvent longuement passer leurs doigts ailleurs si celà aide leur réflexion)
Bon ce que j'en dis c'est juste pour bien accueillir nos nouveaux amis.
Bien à vous tous.
Pefusho.
----- pefusho a écrit -----

Salut à toi Hervé,
Là je suis d'accord.
On est gatés et on a vu 2 ou 3 trucs qui cassent la baraque.
Allez y les enfants, postez nous ce que vous nous cachez encore!
On attend ça comme des gourmandises.
Attention : on vous dira quand même ce qu'on en pense ;-)
Bien à vous.
Pefusho.


----- paintit a écrit -----

la nouvelle vague décoiffe à fond... J'adore...
bienvenue encore une fois aux quelques nouveaux qui ont présentés des travaux anciens ou récents. J'aime beaucoup l'originalité conceptuelle de Akoz. J'aime la tour médievale pour le furtif.
Pour ceux qui n'ont pas encore posté de travaux, on attend avec impatience...




----- pefusho a écrit -----

Bsr à tous,
J'assiste sur ce forum, depuis quelques jours, à un phénoméne interessant : l'arrivée de nouveaux amis sympathiques et pertinents.
Franse, Tidus, Titounou, Le furtif, Flaoua, AkoZ...Si j'en oublie, qu'ils m'excusent.
Ils donnent leur avis sans se préocupper de l'antériorité de respectables anciens qui ont dit ceci il y a 2 ans et à qui on a répondu celà, ce qui fait que désormais pour bien comprendre leurs post, il faut tenir compte de ce vénérable historique.
Eux disent : on aime, on n'aime pas.
Moi, j'aime bien.
Nombre d'entre eux nous montrent de vrais talents.
Perso, je leur souhaite une trés sincére bienvenue.
Réjouissons nous de ce brassage vivifiant, signe de la bonne santé de ce forum.
Pefusho.
Nb - Ce que je vous poste est livré plutôt comme un constat que comme une discussion, aussi pour ouvrir le débat je vous demanderai plutôt : que pensez vous de cette sympathique "new wave"?
Er pour élargir un peu plus la discussion , je demanderai à nos nouveaux amis : que pensez vous de notre forum?


AkoZ
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
En un temps record d'ententes formelles , accomplissant diocèse
séduisant parfois d'un point à la fois les envores que tout autre aurait vaincu
l'enfant des vils frayeurs qui fuit l'angoisse de ses parents au détour d'un grand chemin
et sous les regards des guetteurs railleurs aux murailles de cette forteresse
entonnant tous les pas de la terre natale , il danse chaque note en une melodie tonique
car enfin de chaque recoin sortait un lutin qu'ignorait qu'aucun autre ne les aient vus
si même accomplissait la découverte de pouvoir les rendre indépendant de lui-même
au point que cris et insultes voire féroces transformations de ses visions sur les autres
devenait pour lui un jeu d'expérience allant jusqu'à ne pouvoir plus les empêcher de
douleurs crier des "aussi beau mes poissons qu'il soient fraichement pêchés!"
Sur la ligne de ces discours presque cohérent de termes à la virgule et de mots indépendants, de définitions inconnues et de faits inutiles ou superflus
il allait en chantant qu'une fin d'histoire ne serait pas pour ce soir que les loups
ne courent pas dans ces bois, non jamais car ils sont deja en la ville derrière les remparts.

Joies et en laissant aller encore un peu plsules mots se deliter , aller jusqu'à la consideration de n'être plus qu'un humain sans jugement aucun si ce n'est de faire respecter et accepter ce sort d'aucun autre a toujours contemplé, méditation sous les arbres d'épices parce que c'est bon pour le grand maitre intellect, aperçu récemment comme cette entité parasite qui m'a coffré comme un ver, entourant ma future carcasse d'une peau brunatre et saignante qui par chaque lacération m'entoure d'un monolythe si contraignant...

qui se vide de son essence ? un troyen, envahi de dieux nauseabond et couvrant de chaque région un tissu collant pour justifier chaque fonction d'un trait de caractère et une fatalité au-delà et sans le contrôle de soi. M'entourloupe le texte et ne s'adresse pas encore , mais je vais , savoir sans trop de dérangement viser quelqu'une qui le sait deja, par hasard encore et sans choix , juste un regard d'emoi suffisant à les miens m'emmener plus loin sur la piste dacouverte des éléments décisifs qui feront demain les passerelles d'un futur pas si loin, à quand remonte les clés dans la tourelle ? oui tu sais celle que derrière cette petite mécanique tu avais caché ?
Oh regardes, en avant de toi , il n'y a plus cet écran, un reflet ? non. Une lointaine certitude, un fait, une arrivée annoncée doucement, avec la discrétion inattendue de quelqu'un de perdu, invité ce soir à rester la nuit comme un invité.
Mais ? eau de blattes, n'en finissent pas de couler pour assurer à chacun de mes pas le dérapage prévu, celui qui à chaque piège ne peut échapper, cours donc l'enfant car de loin en loin cette définition n'est pas celle au fond qui te rendra cette joie fière de pouvoir chaque jour d'un tournemain recréer la machine à vapeur ou le train volant. Imagines ainsi que demain il n'y ait plus le vent, la pluie ni boue... que chacun marche sur ses caoutchouc pour éviter les poubelles égouts et les animaux fous qui de leurs griffes tentens encore de creuser le bitume...à chaque pas s'engluer dans un univers dirigé par quelques forbans machinistes et conquérants qui croisent du fer contre les chairs, ceux-là seront en haut de ces cylindres, postes d'horizons que d'aucun en dessous n'auraient la quiétude de contempler chaque instant, trouver plus loin après les murs les espaces ui te font courir plus loin qu'à l'eau tu te jettes sans encore pouvoir te noyer puisque de ces bassins l'eau n'est pas plus profondes qu'un pied. Passes sous ce porche et tu verras les espaces gris entourant la ville de ses modules d'inconfort au point où chaque humain sa place peut compter environ 10m² pour dormir, sans regarder dehors, plus besoin , d'ailleurs qui a vu la nuit orangé de PAris comprend d'un coup combien il est étrange de croire qu'un seul puisse encore dormir, mais si des rêves éveillés devant ces écrans encore, ces surfaces, l'homme des surfaces admirant de ses yeux vides les humeurs de ses représentants, plaisantins, prompts à nous faire vivre ce que nous ne vivront plus. alors au détour d'un puit (oui place le ici), tu verras que ces ptits lutins ne t'ont pas quittés, qu'ils te guettent mais qu'ils sont maintenant apeurés du joour nouveau qui va te voir naitre comme cet être impromi, inconnu en des mils jamais n'ont vu.
Dois-je m'arrêter de cette lenteur qui de vos yeux n'a vu ce témoignage d'un éloquent devenir plus tard un peu plus grand, on ne sait par quel joie s'imisce dans ces endroits où chacun de jeux de balles se lançaient comme au temps des caprices interdits pour cause d'éducation d'appropriété, à quand es-tu remonté dans la dernière salle ?
celle des yeux orange ?
oui celle-là même en correllation de ces instants vont délibérés pour toi afin d'ordonner ta vision d'un champ de cerise de la saison. Ah oui grimper sur toutes ces hauteurs comme il est possible à l'homme comme au singe de passer où bon lui semble, n'empêchant personne d'un grand cri savoureux de suivre son chemin amis (mais) là se déclenche les torpeurs de ses infidèles idées et des nouvelles perspectives qui en quelques instants le font basculer dans ce qui n'est plus d'autre qu'éviter cet ennui pour lui habituel, de la monotonie urbaine où certain comme tous dans leur lit coffre de nuit rêvent aussi que demain il prendront un café avec cet ami, juste le temps à midi de papoter comme la vie est quiétude !
je vous dis à ce demain qui se meilleur qu'hier parce que c'est deja maintenant alors...
merci Pefu et Isa de cet séance inattendue, qui par vos remarques me font recouvrir d'un voile de dialecte l'essence de moi-même.
A me relire saurais-je encore que c'est moi ? J'en doute !
AkoZ°om
aquarelle54
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
je viens de lire ces mots qui giclent, qui jaillissent et qui suintent, sans trop comprendre le sens des phrases que je sens coulantes, ruisselantes, dégoulinantes de la même manière que je regarde tes images; j'ai lu sans effort ce flot de mots qui ne peut être dicter que par la nuit, sans doute ont elles un sens ces phrases longues et succédantes, comme sans doute y 'a t il un sens aux images et aux couleurs posées, pour cet instant, je n'en garderai que l'essence, la cadence, et la danse...il y a certains regards qu'on préfèrent à poser juste pour le beau sans chercher à comprendre...Celà ne vous arrivent ils pas, les superartforumeurs, de regarder sans vouloir voir plus que la simplicité de la vue de vos prunelles... regarder comme si nos yeux étaient fermés....lire comme si notre cerveau était en veille...ou alors, j'ai du me débrancher!!!
Bonne soirée à vous tous...
Isa
pefusho
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Bravo AkoZ,
Enfin quelqu'un qui ose, sur ce forum, exprimer clairement ce qu'il pense.
Je partage ton point de vue, même si, personnellement, j'aurai évoqué la chose avec un peu plus d'emphase.
Pour finir d'accueillir dignement les nouveaux arrivants sur le forum de "Super art, le site de l'artiste", je citerai cet extrait d'Alice aux pays des merveilles, traduction Henri Parisot P 171, Aubie-Flammarion Bilingue N° 32 :

"...Mais je n'ai nullement envie d'aller chez les fous" fit remarquer Alice.
"Oh! Vous ne sauriez faire autrement, dit le Chat: ici tout le monde est fou. Vous êtes folle."
"Comment savez vous que je suis folle?" demanda Alice.
"Il faut croire que vous l'êtes, répondit le Chat ; sinon vous ne seriez pas venue ici"

Bon, ben nous on y est venu.
Ce satané chat n'a jamais du entendre dire :
"plus on est de fous, plus on rit"
Et si les rires sont à la hauteur du nombre,
à mon avis, on doit nous entendre de loin.

Bien à vous.
Pefusho


----- AkoZ a écrit -----

En un temps record d'ententes formelles , accomplissant diocèse
séduisant parfois d'un point à la fois les envores que tout autre aurait vaincu
l'enfant des vils frayeurs qui fuit l'angoisse de ses parents au détour d'un grand chemin
et sous les regards des guetteurs railleurs aux murailles de cette forteresse
entonnant tous les pas de la terre natale , il danse chaque note en une melodie tonique
car enfin de chaque recoin sortait un lutin qu'ignorait qu'aucun autre ne les aient vus
si même accomplissait la découverte de pouvoir les rendre indépendant de lui-même
au point que cris et insultes voire féroces transformations de ses visions sur les autres
devenait pour lui un jeu d'expérience allant jusqu'à ne pouvoir plus les empêcher de
douleurs crier des "aussi beau mes poissons qu'il soient fraichement pêchés!"
Sur la ligne de ces discours presque cohérent de termes à la virgule et de mots indépendants, de définitions inconnues et de faits inutiles ou superflus
il allait en chantant qu'une fin d'histoire ne serait pas pour ce soir que les loups
ne courent pas dans ces bois, non jamais car ils sont deja en la ville derrière les remparts.

Joies et en laissant aller encore un peu plsules mots se deliter , aller jusqu'à la consideration de n'être plus qu'un humain sans jugement aucun si ce n'est de faire respecter et accepter ce sort d'aucun autre a toujours contemplé, méditation sous les arbres d'épices parce que c'est bon pour le grand maitre intellect, aperçu récemment comme cette entité parasite qui m'a coffré comme un ver, entourant ma future carcasse d'une peau brunatre et saignante qui par chaque lacération m'entoure d'un monolythe si contraignant...

qui se vide de son essence ? un troyen, envahi de dieux nauseabond et couvrant de chaque région un tissu collant pour justifier chaque fonction d'un trait de caractère et une fatalité au-delà et sans le contrôle de soi. M'entourloupe le texte et ne s'adresse pas encore , mais je vais , savoir sans trop de dérangement viser quelqu'une qui le sait deja, par hasard encore et sans choix , juste un regard d'emoi suffisant à les miens m'emmener plus loin sur la piste dacouverte des éléments décisifs qui feront demain les passerelles d'un futur pas si loin, à quand remonte les clés dans la tourelle ? oui tu sais celle que derrière cette petite mécanique tu avais caché ?
Oh regardes, en avant de toi , il n'y a plus cet écran, un reflet ? non. Une lointaine certitude, un fait, une arrivée annoncée doucement, avec la discrétion inattendue de quelqu'un de perdu, invité ce soir à rester la nuit comme un invité.
Mais ? eau de blattes, n'en finissent pas de couler pour assurer à chacun de mes pas le dérapage prévu, celui qui à chaque piège ne peut échapper, cours donc l'enfant car de loin en loin cette définition n'est pas celle au fond qui te rendra cette joie fière de pouvoir chaque jour d'un tournemain recréer la machine à vapeur ou le train volant. Imagines ainsi que demain il n'y ait plus le vent, la pluie ni boue... que chacun marche sur ses caoutchouc pour éviter les poubelles égouts et les animaux fous qui de leurs griffes tentens encore de creuser le bitume...à chaque pas s'engluer dans un univers dirigé par quelques forbans machinistes et conquérants qui croisent du fer contre les chairs, ceux-là seront en haut de ces cylindres, postes d'horizons que d'aucun en dessous n'auraient la quiétude de contempler chaque instant, trouver plus loin après les murs les espaces ui te font courir plus loin qu'à l'eau tu te jettes sans encore pouvoir te noyer puisque de ces bassins l'eau n'est pas plus profondes qu'un pied. Passes sous ce porche et tu verras les espaces gris entourant la ville de ses modules d'inconfort au point où chaque humain sa place peut compter environ 10m² pour dormir, sans regarder dehors, plus besoin , d'ailleurs qui a vu la nuit orangé de PAris comprend d'un coup combien il est étrange de croire qu'un seul puisse encore dormir, mais si des rêves éveillés devant ces écrans encore, ces surfaces, l'homme des surfaces admirant de ses yeux vides les humeurs de ses représentants, plaisantins, prompts à nous faire vivre ce que nous ne vivront plus. alors au détour d'un puit (oui place le ici), tu verras que ces ptits lutins ne t'ont pas quittés, qu'ils te guettent mais qu'ils sont maintenant apeurés du joour nouveau qui va te voir naitre comme cet être impromi, inconnu en des mils jamais n'ont vu.
Dois-je m'arrêter de cette lenteur qui de vos yeux n'a vu ce témoignage d'un éloquent devenir plus tard un peu plus grand, on ne sait par quel joie s'imisce dans ces endroits où chacun de jeux de balles se lançaient comme au temps des caprices interdits pour cause d'éducation d'appropriété, à quand es-tu remonté dans la dernière salle ?
celle des yeux orange ?
oui celle-là même en correllation de ces instants vont délibérés pour toi afin d'ordonner ta vision d'un champ de cerise de la saison. Ah oui grimper sur toutes ces hauteurs comme il est possible à l'homme comme au singe de passer où bon lui semble, n'empêchant personne d'un grand cri savoureux de suivre son chemin amis (mais) là se déclenche les torpeurs de ses infidèles idées et des nouvelles perspectives qui en quelques instants le font basculer dans ce qui n'est plus d'autre qu'éviter cet ennui pour lui habituel, de la monotonie urbaine où certain comme tous dans leur lit coffre de nuit rêvent aussi que demain il prendront un café avec cet ami, juste le temps à midi de papoter comme la vie est quiétude !
je vous dis à ce demain qui se meilleur qu'hier parce que c'est deja maintenant alors...
merci Pefu et Isa de cet séance inattendue, qui par vos remarques me font recouvrir d'un voile de dialecte l'essence de moi-même.
A me relire saurais-je encore que c'est moi ? J'en doute !
AkoZ°om
MBC
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Je n'osais pas écrire ça, "plus on est de fous plus on rit", je trouvais la formule un peu trop bateau, commune, ordinaire, banale, enfin sans trop de relief, et bien, JJ a osé le faire, j'avais pensé que dans ce lieu ô combien "cultureux", si j'en crois tout ce que je lis (et que je ne comprends pas toujours d'ailleurs), ma réflexion eut été des plus ordinaires. Je suis finalement contente que ce soit notre Pefusho plein d'humour qui l'ait sortie, car je pense la même chose bien sur...lol, mais je sens que de plus en plus les internautes d'ici, ont un Art de l'éloquence extraordinaire, et je crains de ne pas être toujours à la hauteur pour tenir salon avec tout ce beau monde, et que justement, ça ne me fasse plus trop rire ! bonne soirée à tous
Mireille

----- pefusho a écrit -----

Bravo AkoZ,
Enfin quelqu'un qui ose, sur ce forum, exprimer clairement ce qu'il pense.
Je partage ton point de vue, même si, personnellement, j'aurai évoqué la chose avec un peu plus d'emphase.
Pour finir d'accueillir dignement les nouveaux arrivants sur le forum de "Super art, le site de l'artiste", je citerai cet extrait d'Alice aux pays des merveilles, traduction Henri Parisot P 171, Aubie-Flammarion Bilingue N° 32 :

"...Mais je n'ai nullement envie d'aller chez les fous" fit remarquer Alice.
"Oh! Vous ne sauriez faire autrement, dit le Chat: ici tout le monde est fou. Vous êtes folle."
"Comment savez vous que je suis folle?" demanda Alice.
"Il faut croire que vous l'êtes, répondit le Chat ; sinon vous ne seriez pas venue ici"

Bon, ben nous on y est venu.
Ce satané chat n'a jamais du entendre dire :
"plus on est de fous, plus on rit"
Et si les rires sont à la hauteur du nombre,
à mon avis, on doit nous entendre de loin.

Bien à vous.
Pefusho


----- AkoZ a écrit -----

En un temps record d'ententes formelles , accomplissant diocèse
séduisant parfois d'un point à la fois les envores que tout autre aurait vaincu
l'enfant des vils frayeurs qui fuit l'angoisse de ses parents au détour d'un grand chemin
et sous les regards des guetteurs railleurs aux murailles de cette forteresse
entonnant tous les pas de la terre natale , il danse chaque note en une melodie tonique
car enfin de chaque recoin sortait un lutin qu'ignorait qu'aucun autre ne les aient vus
si même accomplissait la découverte de pouvoir les rendre indépendant de lui-même
au point que cris et insultes voire féroces transformations de ses visions sur les autres
devenait pour lui un jeu d'expérience allant jusqu'à ne pouvoir plus les empêcher de
douleurs crier des "aussi beau mes poissons qu'il soient fraichement pêchés!"
Sur la ligne de ces discours presque cohérent de termes à la virgule et de mots indépendants, de définitions inconnues et de faits inutiles ou superflus
il allait en chantant qu'une fin d'histoire ne serait pas pour ce soir que les loups
ne courent pas dans ces bois, non jamais car ils sont deja en la ville derrière les remparts.

Joies et en laissant aller encore un peu plsules mots se deliter , aller jusqu'à la consideration de n'être plus qu'un humain sans jugement aucun si ce n'est de faire respecter et accepter ce sort d'aucun autre a toujours contemplé, méditation sous les arbres d'épices parce que c'est bon pour le grand maitre intellect, aperçu récemment comme cette entité parasite qui m'a coffré comme un ver, entourant ma future carcasse d'une peau brunatre et saignante qui par chaque lacération m'entoure d'un monolythe si contraignant...

qui se vide de son essence ? un troyen, envahi de dieux nauseabond et couvrant de chaque région un tissu collant pour justifier chaque fonction d'un trait de caractère et une fatalité au-delà et sans le contrôle de soi. M'entourloupe le texte et ne s'adresse pas encore , mais je vais , savoir sans trop de dérangement viser quelqu'une qui le sait deja, par hasard encore et sans choix , juste un regard d'emoi suffisant à les miens m'emmener plus loin sur la piste dacouverte des éléments décisifs qui feront demain les passerelles d'un futur pas si loin, à quand remonte les clés dans la tourelle ? oui tu sais celle que derrière cette petite mécanique tu avais caché ?
Oh regardes, en avant de toi , il n'y a plus cet écran, un reflet ? non. Une lointaine certitude, un fait, une arrivée annoncée doucement, avec la discrétion inattendue de quelqu'un de perdu, invité ce soir à rester la nuit comme un invité.
Mais ? eau de blattes, n'en finissent pas de couler pour assurer à chacun de mes pas le dérapage prévu, celui qui à chaque piège ne peut échapper, cours donc l'enfant car de loin en loin cette définition n'est pas celle au fond qui te rendra cette joie fière de pouvoir chaque jour d'un tournemain recréer la machine à vapeur ou le train volant. Imagines ainsi que demain il n'y ait plus le vent, la pluie ni boue... que chacun marche sur ses caoutchouc pour éviter les poubelles égouts et les animaux fous qui de leurs griffes tentens encore de creuser le bitume...à chaque pas s'engluer dans un univers dirigé par quelques forbans machinistes et conquérants qui croisent du fer contre les chairs, ceux-là seront en haut de ces cylindres, postes d'horizons que d'aucun en dessous n'auraient la quiétude de contempler chaque instant, trouver plus loin après les murs les espaces ui te font courir plus loin qu'à l'eau tu te jettes sans encore pouvoir te noyer puisque de ces bassins l'eau n'est pas plus profondes qu'un pied. Passes sous ce porche et tu verras les espaces gris entourant la ville de ses modules d'inconfort au point où chaque humain sa place peut compter environ 10m² pour dormir, sans regarder dehors, plus besoin , d'ailleurs qui a vu la nuit orangé de PAris comprend d'un coup combien il est étrange de croire qu'un seul puisse encore dormir, mais si des rêves éveillés devant ces écrans encore, ces surfaces, l'homme des surfaces admirant de ses yeux vides les humeurs de ses représentants, plaisantins, prompts à nous faire vivre ce que nous ne vivront plus. alors au détour d'un puit (oui place le ici), tu verras que ces ptits lutins ne t'ont pas quittés, qu'ils te guettent mais qu'ils sont maintenant apeurés du joour nouveau qui va te voir naitre comme cet être impromi, inconnu en des mils jamais n'ont vu.
Dois-je m'arrêter de cette lenteur qui de vos yeux n'a vu ce témoignage d'un éloquent devenir plus tard un peu plus grand, on ne sait par quel joie s'imisce dans ces endroits où chacun de jeux de balles se lançaient comme au temps des caprices interdits pour cause d'éducation d'appropriété, à quand es-tu remonté dans la dernière salle ?
celle des yeux orange ?
oui celle-là même en correllation de ces instants vont délibérés pour toi afin d'ordonner ta vision d'un champ de cerise de la saison. Ah oui grimper sur toutes ces hauteurs comme il est possible à l'homme comme au singe de passer où bon lui semble, n'empêchant personne d'un grand cri savoureux de suivre son chemin amis (mais) là se déclenche les torpeurs de ses infidèles idées et des nouvelles perspectives qui en quelques instants le font basculer dans ce qui n'est plus d'autre qu'éviter cet ennui pour lui habituel, de la monotonie urbaine où certain comme tous dans leur lit coffre de nuit rêvent aussi que demain il prendront un café avec cet ami, juste le temps à midi de papoter comme la vie est quiétude !
je vous dis à ce demain qui se meilleur qu'hier parce que c'est deja maintenant alors...
merci Pefu et Isa de cet séance inattendue, qui par vos remarques me font recouvrir d'un voile de dialecte l'essence de moi-même.
A me relire saurais-je encore que c'est moi ? J'en doute !
AkoZ°om
AkoZ
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
oh non, il serait dommage que par le concours de certain, "l'éloquence" entre autre, soit un moment perdu pour d'autres. Je comprends que chacun ait envie de lire ce qu'il entend et on ne prend pas trop de place à rester dans le coffre mais ce site forumineux semble tout adéquat pour tenter de grandes expériences...Il n'est pas nommé salon, ni causerie mais "super", ces étalages de mots verbeux et mielleux qui ne font rire que certain...
pourraient se rétrécir peut-être ou composer dans une forme lisible et non encausté (?).
Je suppose qu'il n'y a pas de hauteur entre nous. les mots ont leurs propres forces pas celles de qui les utilisent, vous êtes avec vos mots à vous tout aussi capable de vous exprimer...Je serais désolé de ma petite coquille, faire fuire ceux qui y ont vu un oeuf de dragon... (oooohhh et puis quoi ? gargouille !).
Les échelles sont créées par ceux qui en ont besoin, qu'il y ait des rires tout autant que des pleurs, enfin des sentiments...Je suppose que tout peut s'expliquer.
non non je ne voulais pas croire à cette fin si piteuse, partir maintenant hors de ce vaisseau tant qu'il en est temps, avant que les petits grains rouge qui me restent à manger ne m'exterminent.

La culture est un moyen de séparer les âmes, un infâme test de milieu social qui permet de vérifier d'où vous pouvez bien venir, c'est comme scruter les intestins des vers. Non c'est aussi un moyen de montrer des expériences individuelles et surtout originales...On a tous au moins une culture, un passé, un milieu, et laissez tomber la tradition lorsqu'elle n'est plus vivante.
Bon c'est pô l'tout, après ces excès, je préfère revoir demain , ou plus tard ce qui y aura poussé.
bonjour à tous
AkoZ°om

----- MBC a écrit -----

Je n'osais pas écrire ça, "plus on est de fous plus on rit", je trouvais la formule un peu trop bateau, commune, ordinaire, banale, enfin sans trop de relief, et bien, JJ a osé le faire, j'avais pensé que dans ce lieu ô combien "cultureux", si j'en crois tout ce que je lis (et que je ne comprends pas toujours d'ailleurs), ma réflexion eut été des plus ordinaires. Je suis finalement contente que ce soit notre Pefusho plein d'humour qui l'ait sortie, car je pense la même chose bien sur...lol, mais je sens que de plus en plus les internautes d'ici, ont un Art de l'éloquence extraordinaire, et je crains de ne pas être toujours à la hauteur pour tenir salon avec tout ce beau monde, et que justement, ça ne me fasse plus trop rire ! bonne soirée à tous
Mireille

----- pefusho a écrit -----
Bravo AkoZ,
Enfin quelqu'un qui ose, sur ce forum, exprimer clairement ce qu'il pense.
Je partage ton point de vue, même si, personnellement, j'aurai évoqué la chose avec un peu plus d'emphase.
Pour finir d'accueillir dignement les nouveaux arrivants sur le forum de "Super art, le site de l'artiste", je citerai cet extrait d'Alice aux pays des merveilles, traduction Henri Parisot P 171, Aubie-Flammarion Bilingue N° 32 :

"...Mais je n'ai nullement envie d'aller chez les fous" fit remarquer Alice.
"Oh! Vous ne sauriez faire autrement, dit le Chat: ici tout le monde est fou. Vous êtes folle."
"Comment savez vous que je suis folle?" demanda Alice.
"Il faut croire que vous l'êtes, répondit le Chat ; sinon vous ne seriez pas venue ici"

Bon, ben nous on y est venu.
Ce satané chat n'a jamais du entendre dire :
"plus on est de fous, plus on rit"
Et si les rires sont à la hauteur du nombre,
à mon avis, on doit nous entendre de loin.

Bien à vous.
Pefusho


----- AkoZ a écrit -----

En un temps record d'ententes formelles , accomplissant diocèse
séduisant parfois d'un point à la fois les envores que tout autre aurait vaincu
l'enfant des vils frayeurs qui fuit l'angoisse de ses parents au détour d'un grand chemin
et sous les regards des guetteurs railleurs aux murailles de cette forteresse
entonnant tous les pas de la terre natale , il danse chaque note en une melodie tonique
car enfin de chaque recoin sortait un lutin qu'ignorait qu'aucun autre ne les aient vus
si même accomplissait la découverte de pouvoir les rendre indépendant de lui-même
au point que cris et insultes voire féroces transformations de ses visions sur les autres
devenait pour lui un jeu d'expérience allant jusqu'à ne pouvoir plus les empêcher de
douleurs crier des "aussi beau mes poissons qu'il soient fraichement pêchés!"
Sur la ligne de ces discours presque cohérent de termes à la virgule et de mots indépendants, de définitions inconnues et de faits inutiles ou superflus
il allait en chantant qu'une fin d'histoire ne serait pas pour ce soir que les loups
ne courent pas dans ces bois, non jamais car ils sont deja en la ville derrière les remparts.

Joies et en laissant aller encore un peu plsules mots se deliter , aller jusqu'à la consideration de n'être plus qu'un humain sans jugement aucun si ce n'est de faire respecter et accepter ce sort d'aucun autre a toujours contemplé, méditation sous les arbres d'épices parce que c'est bon pour le grand maitre intellect, aperçu récemment comme cette entité parasite qui m'a coffré comme un ver, entourant ma future carcasse d'une peau brunatre et saignante qui par chaque lacération m'entoure d'un monolythe si contraignant...

qui se vide de son essence ? un troyen, envahi de dieux nauseabond et couvrant de chaque région un tissu collant pour justifier chaque fonction d'un trait de caractère et une fatalité au-delà et sans le contrôle de soi. M'entourloupe le texte et ne s'adresse pas encore , mais je vais , savoir sans trop de dérangement viser quelqu'une qui le sait deja, par hasard encore et sans choix , juste un regard d'emoi suffisant à les miens m'emmener plus loin sur la piste dacouverte des éléments décisifs qui feront demain les passerelles d'un futur pas si loin, à quand remonte les clés dans la tourelle ? oui tu sais celle que derrière cette petite mécanique tu avais caché ?
Oh regardes, en avant de toi , il n'y a plus cet écran, un reflet ? non. Une lointaine certitude, un fait, une arrivée annoncée doucement, avec la discrétion inattendue de quelqu'un de perdu, invité ce soir à rester la nuit comme un invité.
Mais ? eau de blattes, n'en finissent pas de couler pour assurer à chacun de mes pas le dérapage prévu, celui qui à chaque piège ne peut échapper, cours donc l'enfant car de loin en loin cette définition n'est pas celle au fond qui te rendra cette joie fière de pouvoir chaque jour d'un tournemain recréer la machine à vapeur ou le train volant. Imagines ainsi que demain il n'y ait plus le vent, la pluie ni boue... que chacun marche sur ses caoutchouc pour éviter les poubelles égouts et les animaux fous qui de leurs griffes tentens encore de creuser le bitume...à chaque pas s'engluer dans un univers dirigé par quelques forbans machinistes et conquérants qui croisent du fer contre les chairs, ceux-là seront en haut de ces cylindres, postes d'horizons que d'aucun en dessous n'auraient la quiétude de contempler chaque instant, trouver plus loin après les murs les espaces ui te font courir plus loin qu'à l'eau tu te jettes sans encore pouvoir te noyer puisque de ces bassins l'eau n'est pas plus profondes qu'un pied. Passes sous ce porche et tu verras les espaces gris entourant la ville de ses modules d'inconfort au point où chaque humain sa place peut compter environ 10m² pour dormir, sans regarder dehors, plus besoin , d'ailleurs qui a vu la nuit orangé de PAris comprend d'un coup combien il est étrange de croire qu'un seul puisse encore dormir, mais si des rêves éveillés devant ces écrans encore, ces surfaces, l'homme des surfaces admirant de ses yeux vides les humeurs de ses représentants, plaisantins, prompts à nous faire vivre ce que nous ne vivront plus. alors au détour d'un puit (oui place le ici), tu verras que ces ptits lutins ne t'ont pas quittés, qu'ils te guettent mais qu'ils sont maintenant apeurés du joour nouveau qui va te voir naitre comme cet être impromi, inconnu en des mils jamais n'ont vu.
Dois-je m'arrêter de cette lenteur qui de vos yeux n'a vu ce témoignage d'un éloquent devenir plus tard un peu plus grand, on ne sait par quel joie s'imisce dans ces endroits où chacun de jeux de balles se lançaient comme au temps des caprices interdits pour cause d'éducation d'appropriété, à quand es-tu remonté dans la dernière salle ?
celle des yeux orange ?
oui celle-là même en correllation de ces instants vont délibérés pour toi afin d'ordonner ta vision d'un champ de cerise de la saison. Ah oui grimper sur toutes ces hauteurs comme il est possible à l'homme comme au singe de passer où bon lui semble, n'empêchant personne d'un grand cri savoureux de suivre son chemin amis (mais) là se déclenche les torpeurs de ses infidèles idées et des nouvelles perspectives qui en quelques instants le font basculer dans ce qui n'est plus d'autre qu'éviter cet ennui pour lui habituel, de la monotonie urbaine où certain comme tous dans leur lit coffre de nuit rêvent aussi que demain il prendront un café avec cet ami, juste le temps à midi de papoter comme la vie est quiétude !
je vous dis à ce demain qui se meilleur qu'hier parce que c'est deja maintenant alors...
merci Pefu et Isa de cet séance inattendue, qui par vos remarques me font recouvrir d'un voile de dialecte l'essence de moi-même.
A me relire saurais-je encore que c'est moi ? J'en doute !
AkoZ°om
aquarelle54
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
très chère Mireille,
Bien peu importe la manière et les mots employés pour dire la sincérité de ce que nous ressentons, à vif, écorchés parfois, troublés, éclatants, heureux, la seule chose qui vaut la peine est juste de les exprimer, de les ejecter pour les faire rebondir comme les petites balles rouges et bleus qui touchaient le mur quand nous avions 7 ans dans la cour de l'école et revenaient dans nos mains, fière de les avoir rattrapper, nus sentant jongleurs alors... on jonglent avec les mots avec plus ou moins d'habilité, mais si la beauté de les lire est un plaisir, il faut quand même parfois retoucher le sol pour juste comprendre leur contenu et le message qu'ils délivrent... et crois moi, plus ils sont simples , plus le message est clair...
Je t'embrasse Mireille
bonne nuit
AkoZ
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Isaqua, je tentais en vain de te suivre, mais sur ces fils indiscrets, n'ai pas réussit à trouver le terrain satisfaisant. Je trouve juste en toi de plus en plus de douceur féminine, avec des emprunts maternels moelleux.
Bon voyons où tu es parti... pour la nuit ?
a
AkoZ
je me demande aussi comment ce "sketch" sera vécu par les observateurs de ce petit champ.
Lorelei
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Bonjour Mireille !
Tu ne vas pas nous refaire le coup de celle qui ne se sent pas à la hauteur quant même, ca me rappelle un certain post de toi comparant ton travail à celui des autres il y a quelques mois, tu te souviens ? Ne te laisse pas impressionner par tout ces "beaux discours". On peut les lire, les survoler, y adhérer ou pas, peu importe. Mois je suis plutôt partisanne du "la peinture ne s´explique pas forcément, moins on en parle plus on a de recul, et de silence pour la regarder". Et d´ailleurs, ici, parle-t´on encore de peinture ? Je sais qu´on peut élargir sa vision des choses, la poésie, la philosophie , la littérature, tout ca c´est bien intéressant ma foi...mais bon...Chacun a sa facon d´extérioriser sa "création ", personnellement, je n´ai pas de message à faire passer dans mes toiles. Et si c´était le cas et que mon travail ne suffisait pas à lui-même, j´écrirais un livre !
Bien à toi Mireille, alors qu´est ce que tu fais voir ?
Le poisson
Lorelei
Oups !
Il y a 20 ans
Mireille,
apparemment c´est Akoz qui va recevoir ma réponse à ton post !!! C´est quoi ce bins ?
Bon cherche un peu plus bas tu la trouveras. En espérant que cette fois ca va marcher...je comprends pas...
Lorelei
A MBC
Il y a 20 ans
Rien à faire, impossible d´envoyer une réponse sur ton post ! Bizarre ???
J´espère que tu la trouveras malgré tout dans ce labyrinthe !
pefusho
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Ma chère Mireille,
Tu es quelqu'un de trés sensible.
Peut être qu'actuelement ton moral un petit peu en baisse ne te laisse entrevoir que le côté grisé des choses.
Dans ce forum "cultureux" on se fait aussi allégrement traiter de cons.
Il n'y a pas de "beau monde" mais de superbes déjantés.
Le but de ce forum n'est pas de faire un concours d'éloquence mais de parler de peinture et de montrer ce que l'on fait.
Et sur ce terrain là, rassures toi, tu es parfaitement à la hauteur.
Alors, fais moi un petit sourire.
Bien amicalement.
JJ
----- MBC a écrit -----

Je n'osais pas écrire ça, "plus on est de fous plus on rit", je trouvais la formule un peu trop bateau, commune, ordinaire, banale, enfin sans trop de relief, et bien, JJ a osé le faire, j'avais pensé que dans ce lieu ô combien "cultureux", si j'en crois tout ce que je lis (et que je ne comprends pas toujours d'ailleurs), ma réflexion eut été des plus ordinaires. Je suis finalement contente que ce soit notre Pefusho plein d'humour qui l'ait sortie, car je pense la même chose bien sur...lol, mais je sens que de plus en plus les internautes d'ici, ont un Art de l'éloquence extraordinaire, et je crains de ne pas être toujours à la hauteur pour tenir salon avec tout ce beau monde, et que justement, ça ne me fasse plus trop rire ! bonne soirée à tous
Mireille

----- pefusho a écrit -----

Bravo AkoZ,
Enfin quelqu'un qui ose, sur ce forum, exprimer clairement ce qu'il pense.
Je partage ton point de vue, même si, personnellement, j'aurai évoqué la chose avec un peu plus d'emphase.
Pour finir d'accueillir dignement les nouveaux arrivants sur le forum de "Super art, le site de l'artiste", je citerai cet extrait d'Alice aux pays des merveilles, traduction Henri Parisot P 171, Aubie-Flammarion Bilingue N° 32 :

"...Mais je n'ai nullement envie d'aller chez les fous" fit remarquer Alice.
"Oh! Vous ne sauriez faire autrement, dit le Chat: ici tout le monde est fou. Vous êtes folle."
"Comment savez vous que je suis folle?" demanda Alice.
"Il faut croire que vous l'êtes, répondit le Chat ; sinon vous ne seriez pas venue ici"

Bon, ben nous on y est venu.
Ce satané chat n'a jamais du entendre dire :
"plus on est de fous, plus on rit"
Et si les rires sont à la hauteur du nombre,
à mon avis, on doit nous entendre de loin.

Bien à vous.
Pefusho


----- AkoZ a écrit -----

En un temps record d'ententes formelles , accomplissant diocèse
séduisant parfois d'un point à la fois les envores que tout autre aurait vaincu
l'enfant des vils frayeurs qui fuit l'angoisse de ses parents au détour d'un grand chemin
et sous les regards des guetteurs railleurs aux murailles de cette forteresse
entonnant tous les pas de la terre natale , il danse chaque note en une melodie tonique
car enfin de chaque recoin sortait un lutin qu'ignorait qu'aucun autre ne les aient vus
si même accomplissait la découverte de pouvoir les rendre indépendant de lui-même
au point que cris et insultes voire féroces transformations de ses visions sur les autres
devenait pour lui un jeu d'expérience allant jusqu'à ne pouvoir plus les empêcher de
douleurs crier des "aussi beau mes poissons qu'il soient fraichement pêchés!"
Sur la ligne de ces discours presque cohérent de termes à la virgule et de mots indépendants, de définitions inconnues et de faits inutiles ou superflus
il allait en chantant qu'une fin d'histoire ne serait pas pour ce soir que les loups
ne courent pas dans ces bois, non jamais car ils sont deja en la ville derrière les remparts.

Joies et en laissant aller encore un peu plsules mots se deliter , aller jusqu'à la consideration de n'être plus qu'un humain sans jugement aucun si ce n'est de faire respecter et accepter ce sort d'aucun autre a toujours contemplé, méditation sous les arbres d'épices parce que c'est bon pour le grand maitre intellect, aperçu récemment comme cette entité parasite qui m'a coffré comme un ver, entourant ma future carcasse d'une peau brunatre et saignante qui par chaque lacération m'entoure d'un monolythe si contraignant...

qui se vide de son essence ? un troyen, envahi de dieux nauseabond et couvrant de chaque région un tissu collant pour justifier chaque fonction d'un trait de caractère et une fatalité au-delà et sans le contrôle de soi. M'entourloupe le texte et ne s'adresse pas encore , mais je vais , savoir sans trop de dérangement viser quelqu'une qui le sait deja, par hasard encore et sans choix , juste un regard d'emoi suffisant à les miens m'emmener plus loin sur la piste dacouverte des éléments décisifs qui feront demain les passerelles d'un futur pas si loin, à quand remonte les clés dans la tourelle ? oui tu sais celle que derrière cette petite mécanique tu avais caché ?
Oh regardes, en avant de toi , il n'y a plus cet écran, un reflet ? non. Une lointaine certitude, un fait, une arrivée annoncée doucement, avec la discrétion inattendue de quelqu'un de perdu, invité ce soir à rester la nuit comme un invité.
Mais ? eau de blattes, n'en finissent pas de couler pour assurer à chacun de mes pas le dérapage prévu, celui qui à chaque piège ne peut échapper, cours donc l'enfant car de loin en loin cette définition n'est pas celle au fond qui te rendra cette joie fière de pouvoir chaque jour d'un tournemain recréer la machine à vapeur ou le train volant. Imagines ainsi que demain il n'y ait plus le vent, la pluie ni boue... que chacun marche sur ses caoutchouc pour éviter les poubelles égouts et les animaux fous qui de leurs griffes tentens encore de creuser le bitume...à chaque pas s'engluer dans un univers dirigé par quelques forbans machinistes et conquérants qui croisent du fer contre les chairs, ceux-là seront en haut de ces cylindres, postes d'horizons que d'aucun en dessous n'auraient la quiétude de contempler chaque instant, trouver plus loin après les murs les espaces ui te font courir plus loin qu'à l'eau tu te jettes sans encore pouvoir te noyer puisque de ces bassins l'eau n'est pas plus profondes qu'un pied. Passes sous ce porche et tu verras les espaces gris entourant la ville de ses modules d'inconfort au point où chaque humain sa place peut compter environ 10m² pour dormir, sans regarder dehors, plus besoin , d'ailleurs qui a vu la nuit orangé de PAris comprend d'un coup combien il est étrange de croire qu'un seul puisse encore dormir, mais si des rêves éveillés devant ces écrans encore, ces surfaces, l'homme des surfaces admirant de ses yeux vides les humeurs de ses représentants, plaisantins, prompts à nous faire vivre ce que nous ne vivront plus. alors au détour d'un puit (oui place le ici), tu verras que ces ptits lutins ne t'ont pas quittés, qu'ils te guettent mais qu'ils sont maintenant apeurés du joour nouveau qui va te voir naitre comme cet être impromi, inconnu en des mils jamais n'ont vu.
Dois-je m'arrêter de cette lenteur qui de vos yeux n'a vu ce témoignage d'un éloquent devenir plus tard un peu plus grand, on ne sait par quel joie s'imisce dans ces endroits où chacun de jeux de balles se lançaient comme au temps des caprices interdits pour cause d'éducation d'appropriété, à quand es-tu remonté dans la dernière salle ?
celle des yeux orange ?
oui celle-là même en correllation de ces instants vont délibérés pour toi afin d'ordonner ta vision d'un champ de cerise de la saison. Ah oui grimper sur toutes ces hauteurs comme il est possible à l'homme comme au singe de passer où bon lui semble, n'empêchant personne d'un grand cri savoureux de suivre son chemin amis (mais) là se déclenche les torpeurs de ses infidèles idées et des nouvelles perspectives qui en quelques instants le font basculer dans ce qui n'est plus d'autre qu'éviter cet ennui pour lui habituel, de la monotonie urbaine où certain comme tous dans leur lit coffre de nuit rêvent aussi que demain il prendront un café avec cet ami, juste le temps à midi de papoter comme la vie est quiétude !
je vous dis à ce demain qui se meilleur qu'hier parce que c'est deja maintenant alors...
merci Pefu et Isa de cet séance inattendue, qui par vos remarques me font recouvrir d'un voile de dialecte l'essence de moi-même.
A me relire saurais-je encore que c'est moi ? J'en doute !
AkoZ°om
AkoZ
Re :The new wave...pump up
Il y a 20 ans
Pefusho, ton humour fin est à point...
J'aurais bien tenté un autre texte pourtant je n'ai pas le fil, j'attends aussi une nouvelle réaction de Isaqua...une sorte de direction spontanée, parce c'est aussi cela le frein: avoir mille directions qui se valent et les prendre toutes à la fois mais si lentement, alors qu'une seule suffit, avec vigueur et sagesse, terminer le projet au point de réalisation ...
bom bom fait le petit coeur chéri...
bye bye fait le petit bonhomme...

hey Pefu tu m'aurais pas glissé une connotation sexuelle dans ton propos ?
à plouch
AkoZ
attention le texte qui suit va être manipulé au clavier:
----- pefucho a émit -----
Bravo lA choZ,
Enfin quelqu'un qui pose, sur ce fort homme, exprimer si clairement ce qu'il transe.
Je pars de ton point de glue, même si, personnellement, j'aurais convoqué la belle avec un peu plus de phase.
Pour finir de cueillir digestement les nouveaux amants sur le grill de "Super art, le site de l'artiste", je citerai cet extrait d'Alise aux pays des noisettes, traduction Henri Pariset et Mlle P171 Pi waneseveunewane, Aubiewanencore-Flammetrion Bilingue (oops!) N° 32 (forty 2) :

"...Mais je ne vie pas chez les fous" remarqua Alise.
"Oh! quidam tit damoiselle !", dit le Char: ici tout le monde est aussi fou que Vous."
"Comment le savez vous ?" demanda Alise.
"Il faut y croire nennette", rebondit le Char ; "sinon vous ne seriez poinzici"

Bonbon, bigben nouson y est venu.
Ce satané char sans écho n'aurait entendu :
"plus on est de fous, plus on rit"
Et si les rires sont les moteurs du nombre,
à mon avis, on doit nous entendre des foins.

Bien à voux.
Pefucho
Colacho

----- AkoZ a écrit aussi -----
ah oui, je laisse ce texte issus-dit et embraye sur une autre citation au pif mais en english tant pis... Hamlet:"But soft, but soft awhile !" mais calme, mais calme pendant quelques temps !
" a dream itself is but a shadow." un rêve en lui-même n'est qu'une ombre
" i shall in all my best obey you, madam." (en fait c'est sa mère la reine..." je ferai de mon mieux pour vous obéir madame"
"But break, my heart, for i must hold my tongue." mais arrêtons là, mon coeur, je dois tenir ma langue"


et j'aime beaucoup ce passage-ci, attendez... au pif mais lisez les sonorités:
R: take you me for a sponge, my lord ?
H: Ay, sir,that soaks up the king's countenance,his rewards, his authorities. But such officers do the king best service in the end. He keeps them, like an ape an apple, in the corner of his jaw, first mouthed, to be last swallowed. When he needs what you have gleaned, it is but squeezing you and , sponge, you shall be dry again.
R: i understand you not, my lord.
H: i am glad of it *1. A knavish speech sleeps in a foolish ear. *2

En fait c'est Hamlet qui vient de tuer son "beau-père" (celui d'Ophélie) , car il était caché pour l'espionner derrière un grand rideau'pas hamlet), alors je cite:"A rat! A rat!" tout en sortant sa rapière, il le pourfends direct. Alors les gars du roi-usurpateur (R entre autres) voudraient bien savoir où il est allé cacher le cadavre... et l'aut' sir se fait traiter d'éponge (oui H est un lord lui).
mais comme ses paroles sont assez sybillines (une autre époque), le pov' envoyé du roi U ne comprend pas qu'i s'fout d'lui...H est content (*1) parce que je cite:(*2)" Un discours de valet dort dans une oreille démente."

voila c'était jsute là, fallait l'extirper du bouquin que j'ai retrouvé...je remonte les époques jusqu'à retrouver un moment exact dans ma vie qui m'a fait shinter...(? ou pas de moment ?)

après copie de moi (celui qui est à l'intérieur et que je veux faire sortir en vrai):
En un temps record d'ententes femelles , accomplissant diocèse quoi...
séduisante parfois d'un point à la fois les envores que tout autre aurait vaincu(si les chevaliers le faisaient),
l'enfant des vils frayeurs qui fuit l'angoisse de ses parents au détour d'un grand chemin
et sous les regards des guetteurs railleurs aux murailles de cette forteresse
entonnant tous les pas de la terre natale , il danse chaque note en une melodie tonique
car enfin de chaque recoin sortait un lutin qu'ignorait qu'aucun autre ne les aient vus
si même accomplissait la découverte de pouvoir les rendre indépendant de lui-même
au point que cris et insultes voire féroces transformations de ses visions sur les autres
devenait pour lui un jeu d'expérience allant jusqu'à ne pouvoir plus les empêcher de
douleurs crier des "aussi beau mes poissons qu'il soient fraichement pêchés!"
Sur la ligne de ces discours presque cohérent de termes à la virgule et de mots indépendants, de définitions inconnues et de faits inutiles ou superflus
il allait en chantant qu'une fin d'histoire ne serait pas pour ce soir que les loups
ne courent pas dans ces bois, non jamais car ils sont deja en la ville derrière les remparts.

Joies et en laissant aller encore un peu plsules mots se deliter , aller jusqu'à la consideration de n'être plus qu'un humain sans jugement aucun si ce n'est de faire respecter et accepter ce sort d'aucun autre a toujours contemplé, méditation sous les arbres d'épices parce que c'est bon pour le grand maitre intellect, aperçu récemment comme cette entité parasite qui m'a coffré comme un ver, entourant ma future carcasse d'une peau brunatre et saignante qui par chaque lacération m'entoure d'un monolythe si contraignant...

qui se vide de son essence ? un troyen, envahi de dieux nauseabond et couvrant de chaque région un tissu collant pour justifier chaque fonction d'un trait de caractère et une fatalité au-delà et sans le contrôle de soi. M'entourloupe le texte et ne s'adresse pas encore , mais je vais , savoir sans trop de dérangement viser quelqu'une qui le sait deja, par hasard encore et sans choix , juste un regard d'emoi suffisant à les miens m'emmener plus loin sur la piste dacouverte des éléments décisifs qui feront demain les passerelles d'un futur pas si loin, à quand remonte les clés dans la tourelle ? oui tu sais celle que derrière cette petite mécanique tu avais caché ?
Oh regardes, en avant de toi , il n'y a plus cet écran, un reflet ? non. Une lointaine certitude, un fait, une arrivée annoncée doucement, avec la discrétion inattendue de quelqu'un de perdu, invité ce soir à rester la nuit comme un invité.
Mais ? eau de blattes, n'en finissent pas de couler pour assurer à chacun de mes pas le dérapage prévu, celui qui à chaque piège ne peut échapper, cours donc l'enfant car de loin en loin cette définition n'est pas celle au fond qui te rendra cette joie fière de pouvoir chaque jour d'un tournemain recréer la machine à vapeur ou le train volant. Imagines ainsi que demain il n'y ait plus le vent, la pluie ni boue... que chacun marche sur ses caoutchouc pour éviter les poubelles égouts et les animaux fous qui de leurs griffes tentens encore de creuser le bitume...à chaque pas s'engluer dans un univers dirigé par quelques forbans machinistes et conquérants qui croisent du fer contre les chairs, ceux-là seront en haut de ces cylindres, postes d'horizons que d'aucun en dessous n'auraient la quiétude de contempler chaque instant, trouver plus loin après les murs les espaces ui te font courir plus loin qu'à l'eau tu te jettes sans encore pouvoir te noyer puisque de ces bassins l'eau n'est pas plus profondes qu'un pied. Passes sous ce porche et tu verras les espaces gris entourant la ville de ses modules d'inconfort au point où chaque humain sa place peut compter environ 10m² pour dormir, sans regarder dehors, plus besoin , d'ailleurs qui a vu la nuit orangé de PAris comprend d'un coup combien il est étrange de croire qu'un seul puisse encore dormir, mais si des rêves éveillés devant ces écrans encore, ces surfaces, l'homme des surfaces admirant de ses yeux vides les humeurs de ses représentants, plaisantins, prompts à nous faire vivre ce que nous ne vivront plus. alors au détour d'un puit (oui place le ici), tu verras que ces ptits lutins ne t'ont pas quittés, qu'ils te guettent mais qu'ils sont maintenant apeurés du joour nouveau qui va te voir naitre comme cet être impromi, inconnu en des mils jamais n'ont vu.
Dois-je m'arrêter de cette lenteur qui de vos yeux n'a vu ce témoignage d'un éloquent devenir plus tard un peu plus grand, on ne sait par quel joie s'imisce dans ces endroits où chacun de jeux de balles se lançaient comme au temps des caprices interdits pour cause d'éducation d'appropriété, à quand es-tu remonté dans la dernière salle ?
celle des yeux orange ?
oui celle-là même en correllation de ces instants vont délibérés pour toi afin d'ordonner ta vision d'un champ de cerise de la saison. Ah oui grimper sur toutes ces hauteurs comme il est possible à l'homme comme au singe de passer où bon lui semble, n'empêchant personne d'un grand cri savoureux de suivre son chemin amis (mais) là se déclenche les torpeurs de ses infidèles idées et des nouvelles perspectives qui en quelques instants le font basculer dans ce qui n'est plus d'autre qu'éviter cet ennui pour lui habituel, de la monotonie urbaine où certain comme tous dans leur lit coffre de nuit rêvent aussi que demain il prendront un café avec cet ami, juste le temps à midi de papoter comme la vie est quiétude !
je vous dis à ce demain qui se meilleur qu'hier parce que c'est deja maintenant alors...
merci Pefu et Isa de cet séance inattendue, qui par vos remarques me font recouvrir d'un voile de dialecte l'essence de moi-même.
A me relire saurais-je encore que c'est moi ? J'en doute !
AkoZ°om
pefusho
Re :The new wave...pump up
Il y a 20 ans
Salut AkoZ,
Ton post me fait penser à la sublime traduction d'un poême du même Lewis Carrol qui commence ainsi :
"il était grilheure,
tous molodaves étaient les borograves..."
Je ne garantis pas l'exactitude de ce qui précéde que je cite de mémoire, et si quelque érudit veut me rectifier et nous rappeler la suite, c'est avec plaisir.
Tu ne serais pas la réincarnation du grand Lewis.
Pas Jerry qui est toujours vivant, bien sûr :-)
Bien à toi
Pefusho
----- AkoZ a écrit -----

Pefusho, ton humour fin est à point...
J'aurais bien tenté un autre texte pourtant je n'ai pas le fil, j'attends aussi une nouvelle réaction de Isaqua...une sorte de direction spontanée, parce c'est aussi cela le frein: avoir mille directions qui se valent et les prendre toutes à la fois mais si lentement, alors qu'une seule suffit, avec vigueur et sagesse, terminer le projet au point de réalisation ...
bom bom fait le petit coeur chéri...
bye bye fait le petit bonhomme...

hey Pefu tu m'aurais pas glissé une connotation sexuelle dans ton propos ?
à plouch
AkoZ
attention le texte qui suit va être manipulé au clavier:
----- pefucho a émit -----
Bravo lA choZ,
Enfin quelqu'un qui pose, sur ce fort homme, exprimer si clairement ce qu'il transe.
Je pars de ton point de glue, même si, personnellement, j'aurais convoqué la belle avec un peu plus de phase.
Pour finir de cueillir digestement les nouveaux amants sur le grill de "Super art, le site de l'artiste", je citerai cet extrait d'Alise aux pays des noisettes, traduction Henri Pariset et Mlle P171 Pi waneseveunewane, Aubiewanencore-Flammetrion Bilingue (oops!) N° 32 (forty 2) :

"...Mais je ne vie pas chez les fous" remarqua Alise.
"Oh! quidam tit damoiselle !", dit le Char: ici tout le monde est aussi fou que Vous."
"Comment le savez vous ?" demanda Alise.
"Il faut y croire nennette", rebondit le Char ; "sinon vous ne seriez poinzici"

Bonbon, bigben nouson y est venu.
Ce satané char sans écho n'aurait entendu :
"plus on est de fous, plus on rit"
Et si les rires sont les moteurs du nombre,
à mon avis, on doit nous entendre des foins.

Bien à voux.
Pefucho
Colacho

----- AkoZ a écrit aussi -----
ah oui, je laisse ce texte issus-dit et embraye sur une autre citation au pif mais en english tant pis... Hamlet:"But soft, but soft awhile !" mais calme, mais calme pendant quelques temps !
" a dream itself is but a shadow." un rêve en lui-même n'est qu'une ombre
" i shall in all my best obey you, madam." (en fait c'est sa mère la reine..." je ferai de mon mieux pour vous obéir madame"
"But break, my heart, for i must hold my tongue." mais arrêtons là, mon coeur, je dois tenir ma langue"


et j'aime beaucoup ce passage-ci, attendez... au pif mais lisez les sonorités:
R: take you me for a sponge, my lord ?
H: Ay, sir,that soaks up the king's countenance,his rewards, his authorities. But such officers do the king best service in the end. He keeps them, like an ape an apple, in the corner of his jaw, first mouthed, to be last swallowed. When he needs what you have gleaned, it is but squeezing you and , sponge, you shall be dry again.
R: i understand you not, my lord.
H: i am glad of it *1. A knavish speech sleeps in a foolish ear. *2

En fait c'est Hamlet qui vient de tuer son "beau-père" (celui d'Ophélie) , car il était caché pour l'espionner derrière un grand rideau'pas hamlet), alors je cite:"A rat! A rat!" tout en sortant sa rapière, il le pourfends direct. Alors les gars du roi-usurpateur (R entre autres) voudraient bien savoir où il est allé cacher le cadavre... et l'aut' sir se fait traiter d'éponge (oui H est un lord lui).
mais comme ses paroles sont assez sybillines (une autre époque), le pov' envoyé du roi U ne comprend pas qu'i s'fout d'lui...H est content (*1) parce que je cite:(*2)" Un discours de valet dort dans une oreille démente."

voila c'était jsute là, fallait l'extirper du bouquin que j'ai retrouvé...je remonte les époques jusqu'à retrouver un moment exact dans ma vie qui m'a fait shinter...(? ou pas de moment ?)

après copie de moi (celui qui est à l'intérieur et que je veux faire sortir en vrai):
En un temps record d'ententes femelles , accomplissant diocèse quoi...
séduisante parfois d'un point à la fois les envores que tout autre aurait vaincu(si les chevaliers le faisaient),
l'enfant des vils frayeurs qui fuit l'angoisse de ses parents au détour d'un grand chemin
et sous les regards des guetteurs railleurs aux murailles de cette forteresse
entonnant tous les pas de la terre natale , il danse chaque note en une melodie tonique
car enfin de chaque recoin sortait un lutin qu'ignorait qu'aucun autre ne les aient vus
si même accomplissait la découverte de pouvoir les rendre indépendant de lui-même
au point que cris et insultes voire féroces transformations de ses visions sur les autres
devenait pour lui un jeu d'expérience allant jusqu'à ne pouvoir plus les empêcher de
douleurs crier des "aussi beau mes poissons qu'il soient fraichement pêchés!"
Sur la ligne de ces discours presque cohérent de termes à la virgule et de mots indépendants, de définitions inconnues et de faits inutiles ou superflus
il allait en chantant qu'une fin d'histoire ne serait pas pour ce soir que les loups
ne courent pas dans ces bois, non jamais car ils sont deja en la ville derrière les remparts.

Joies et en laissant aller encore un peu plsules mots se deliter , aller jusqu'à la consideration de n'être plus qu'un humain sans jugement aucun si ce n'est de faire respecter et accepter ce sort d'aucun autre a toujours contemplé, méditation sous les arbres d'épices parce que c'est bon pour le grand maitre intellect, aperçu récemment comme cette entité parasite qui m'a coffré comme un ver, entourant ma future carcasse d'une peau brunatre et saignante qui par chaque lacération m'entoure d'un monolythe si contraignant...

qui se vide de son essence ? un troyen, envahi de dieux nauseabond et couvrant de chaque région un tissu collant pour justifier chaque fonction d'un trait de caractère et une fatalité au-delà et sans le contrôle de soi. M'entourloupe le texte et ne s'adresse pas encore , mais je vais , savoir sans trop de dérangement viser quelqu'une qui le sait deja, par hasard encore et sans choix , juste un regard d'emoi suffisant à les miens m'emmener plus loin sur la piste dacouverte des éléments décisifs qui feront demain les passerelles d'un futur pas si loin, à quand remonte les clés dans la tourelle ? oui tu sais celle que derrière cette petite mécanique tu avais caché ?
Oh regardes, en avant de toi , il n'y a plus cet écran, un reflet ? non. Une lointaine certitude, un fait, une arrivée annoncée doucement, avec la discrétion inattendue de quelqu'un de perdu, invité ce soir à rester la nuit comme un invité.
Mais ? eau de blattes, n'en finissent pas de couler pour assurer à chacun de mes pas le dérapage prévu, celui qui à chaque piège ne peut échapper, cours donc l'enfant car de loin en loin cette définition n'est pas celle au fond qui te rendra cette joie fière de pouvoir chaque jour d'un tournemain recréer la machine à vapeur ou le train volant. Imagines ainsi que demain il n'y ait plus le vent, la pluie ni boue... que chacun marche sur ses caoutchouc pour éviter les poubelles égouts et les animaux fous qui de leurs griffes tentens encore de creuser le bitume...à chaque pas s'engluer dans un univers dirigé par quelques forbans machinistes et conquérants qui croisent du fer contre les chairs, ceux-là seront en haut de ces cylindres, postes d'horizons que d'aucun en dessous n'auraient la quiétude de contempler chaque instant, trouver plus loin après les murs les espaces ui te font courir plus loin qu'à l'eau tu te jettes sans encore pouvoir te noyer puisque de ces bassins l'eau n'est pas plus profondes qu'un pied. Passes sous ce porche et tu verras les espaces gris entourant la ville de ses modules d'inconfort au point où chaque humain sa place peut compter environ 10m² pour dormir, sans regarder dehors, plus besoin , d'ailleurs qui a vu la nuit orangé de PAris comprend d'un coup combien il est étrange de croire qu'un seul puisse encore dormir, mais si des rêves éveillés devant ces écrans encore, ces surfaces, l'homme des surfaces admirant de ses yeux vides les humeurs de ses représentants, plaisantins, prompts à nous faire vivre ce que nous ne vivront plus. alors au détour d'un puit (oui place le ici), tu verras que ces ptits lutins ne t'ont pas quittés, qu'ils te guettent mais qu'ils sont maintenant apeurés du joour nouveau qui va te voir naitre comme cet être impromi, inconnu en des mils jamais n'ont vu.
Dois-je m'arrêter de cette lenteur qui de vos yeux n'a vu ce témoignage d'un éloquent devenir plus tard un peu plus grand, on ne sait par quel joie s'imisce dans ces endroits où chacun de jeux de balles se lançaient comme au temps des caprices interdits pour cause d'éducation d'appropriété, à quand es-tu remonté dans la dernière salle ?
celle des yeux orange ?
oui celle-là même en correllation de ces instants vont délibérés pour toi afin d'ordonner ta vision d'un champ de cerise de la saison. Ah oui grimper sur toutes ces hauteurs comme il est possible à l'homme comme au singe de passer où bon lui semble, n'empêchant personne d'un grand cri savoureux de suivre son chemin amis (mais) là se déclenche les torpeurs de ses infidèles idées et des nouvelles perspectives qui en quelques instants le font basculer dans ce qui n'est plus d'autre qu'éviter cet ennui pour lui habituel, de la monotonie urbaine où certain comme tous dans leur lit coffre de nuit rêvent aussi que demain il prendront un café avec cet ami, juste le temps à midi de papoter comme la vie est quiétude !
je vous dis à ce demain qui se meilleur qu'hier parce que c'est deja maintenant alors...
merci Pefu et Isa de cet séance inattendue, qui par vos remarques me font recouvrir d'un voile de dialecte l'essence de moi-même.
A me relire saurais-je encore que c'est moi ? J'en doute !
AkoZ°om
AkoZ
Re :The new wave...pump up
Il y a 20 ans
----- pefusho a écrit -----

Salut AkoZ,
Ton post me fait penser à la sublime traduction d'un poême du même Lewis Carrol qui commence ainsi :
"il était grilheure,
tous molodaves étaient les borograves..."
Je ne garantis pas l'exactitude de ce qui précéde que je cite de mémoire, et si quelque érudit veut me rectifier et nous rappeler la suite, c'est avec plaisir.
Tu ne serais pas la réincarnation du grand Lewis.
Pas Jerry qui est toujours vivant, bien sûr :-)
Bien à toi
Pefusho

hhoulllaa moi qui tente de me soigner de toute "vanité", là tu me chauffes trop d'honneur dans la grille des tops trop connus...j'en suis pas là, mais p'tet si c'était possible, d'ailleurs, ça n'a rien à voir, je me dis qu'il faudrait bien un nouveau parti politique artistique, je laisse lien: http://akozoom.free.fr/b2e (blogs perso°
J'adore L Caroll (ou 2r 1 l?) bon et bien je dois me suspendre un peu de ces extravagantes logorrhées et donc passer à vous donner un lien d'une galerie digne de ce nom...je parle trop j'te le dis !
Où est Isaqua ?
à bientot quant même, pour des demonstrations bien réelles...
AkoZ°om
Pat.Alizarine
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Bonjour a tous

Arrivé depuis février, je ne sais si ancien ou nouveau je suis.
Une chose est sure, comme aurait dit Lovecraft, Grands Anciens je ne suis pas.

Sur ce forum on y trouve des fous et aussi des sages, et curieusement le flots de arrivants respecte cet équilibre.
De grandes envolées lyriques, echanges agressifs, observations timides, des propos subtils, les petits nouveaux ont déjà choisi.

Enfin bref, je remercie a mon tour les foromeuses et les foromeurs, (en passant par ludo que l'on n'entend pas souvent), pour l'animation graphique et verbale a laquelle je deviens dangereusement acro.

PP

----- pefusho a écrit -----

Bsr à tous,
J'assiste sur ce forum, depuis quelques jours, à un phénoméne interessant : l'arrivée de nouveaux amis sympathiques et pertinents.
Franse, Tidus, Titounou, Le furtif, Flaoua, AkoZ...Si j'en oublie, qu'ils m'excusent.
Ils donnent leur avis sans se préocupper de l'antériorité de respectables anciens qui ont dit ceci il y a 2 ans et à qui on a répondu celà, ce qui fait que désormais pour bien comprendre leurs post, il faut tenir compte de ce vénérable historique.
Eux disent : on aime, on n'aime pas.
Moi, j'aime bien.
Nombre d'entre eux nous montrent de vrais talents.
Perso, je leur souhaite une trés sincére bienvenue.
Réjouissons nous de ce brassage vivifiant, signe de la bonne santé de ce forum.
Pefusho.
Nb - Ce que je vous poste est livré plutôt comme un constat que comme une discussion, aussi pour ouvrir le débat je vous demanderai plutôt : que pensez vous de cette sympathique "new wave"?
Er pour élargir un peu plus la discussion , je demanderai à nos nouveaux amis : que pensez vous de notre forum?


MBC
A Akoz, Aqua, Lorelei..
Il y a 20 ans
vous voudrez bien m'excuser pour ce petit aparté :

"Chassez le naturel, il revient au galop......!!!!"

je ne voulais pas pourrir votre discussion par ailleurs fort intéressante..., mais je suis victime depuis toujours, de cette sorte "de complexe d'inférioté", de "dévaloraisation de soi peut-être, en tous les cas, de manque total de confiance en moi. Dans la vie de tous les jours je suis comme ça aussi, alors certains pourront penser que je suis une peu "malade", sans doute, mais rassurez vous je m'soigne, hélas parfois, quand le moral est un peu en baisse, les vieux démons, incontralables, ressurgissent bien malgré moi. Pourtant, fort heureusement, j'arrive à vivre normalement, je ris, je chante, j'essaie de me cultiver (un minimum), je suis membre d'associations, je suis capable de m'ouvrir aux autres sans problèmes, mais je reste persuadée, au fond de moi, quand je fais le bilan, que ma vie est très plate, voire creuse, ça manque de relief et de panache, je suis peut-être une éternelle insatisfaite ? lol

Chacun doit savoir ici, qu'il est très difficile de modifier sa nature profonde, on peut simplement tenter de s'améliorer, j'y travaille tous les jours, mais comme vous le voyez, ça n'est pas gagné !!!!.

Bon, et ben dites-moi, il faudrait pas se laisser aller !!!! ASSEZ, de auto-psychologie à deux balles, et retournons au boulot, il n'est pas prévu que qu'elqu'un vienne bosser à ma place. (rires)

Bises à vous tous, mireille

----- Pat.Alizarine a écrit -----

Bonjour a tous

Arrivé depuis février, je ne sais si ancien ou nouveau je suis.
Une chose est sure, comme aurait dit Lovecraft, Grands Anciens je ne suis pas.

Sur ce forum on y trouve des fous et aussi des sages, et curieusement le flots de arrivants respecte cet équilibre.
De grandes envolées lyriques, echanges agressifs, observations timides, des propos subtils, les petits nouveaux ont déjà choisi.

Enfin bref, je remercie a mon tour les foromeuses et les foromeurs, (en passant par ludo que l'on n'entend pas souvent), pour l'animation graphique et verbale a laquelle je deviens dangereusement acro.

PP

----- pefusho a écrit -----

Bsr à tous,
J'assiste sur ce forum, depuis quelques jours, à un phénoméne interessant : l'arrivée de nouveaux amis sympathiques et pertinents.
Franse, Tidus, Titounou, Le furtif, Flaoua, AkoZ...Si j'en oublie, qu'ils m'excusent.
Ils donnent leur avis sans se préocupper de l'antériorité de respectables anciens qui ont dit ceci il y a 2 ans et à qui on a répondu celà, ce qui fait que désormais pour bien comprendre leurs post, il faut tenir compte de ce vénérable historique.
Eux disent : on aime, on n'aime pas.
Moi, j'aime bien.
Nombre d'entre eux nous montrent de vrais talents.
Perso, je leur souhaite une trés sincére bienvenue.
Réjouissons nous de ce brassage vivifiant, signe de la bonne santé de ce forum.
Pefusho.
Nb - Ce que je vous poste est livré plutôt comme un constat que comme une discussion, aussi pour ouvrir le débat je vous demanderai plutôt : que pensez vous de cette sympathique "new wave"?
Er pour élargir un peu plus la discussion , je demanderai à nos nouveaux amis : que pensez vous de notre forum?


AkoZ
Re :A Akoz,
Il y a 20 ans
----- MBC a écrit -----
vous voudrez bien m'excuser pour ce petit aparté :

"Chassez le naturel, il revient au galop......!!!!"
je fais pas de psycho, je suis dans ces interrogations ,justement, et ce naturel là, il me semble ce n'est pas vous, non... vous remarquez encore une fois:
parfois, quand le moral est un peu en baisse, les vieux démons, incontralables, ressurgissent bien malgré moi. Pourtant, fort heureusement, j'arrive à vivre normalement,
et oui, cet entité qui dit moi à notre place, qui nous pense "je" est heureusement repérable, à ces "décrochages" qui nous importunent, ces moments génants où on ne se reconnait pas: gène, timidité, moral, devoir, falloir,...etc
Nous vivons dans un monde où le rationnel et l'intellect sont amplifiés... l'un de nos 2 cerveaux en souffre: le droit (celui de l'intuition), c'est par vos oeuvres que vous vous trouvez sans les mots , sans le dire, c'est à ce moment là que vous êtes le "je" vrai, celui qui n'est plus social.

Chacun doit savoir ici, qu'il est très difficile de modifier sa nature profonde, on peut simplement tenter de s'améliorer, j'y travaille tous les jours, mais comme vous le voyez, ça n'est pas gagné !!!!.
C'est aussi en ayant cette idée d'un autre qui se nourrit de nous (vieux démon en tout les temps et romans), que nous prenons doucement conscience de cet état larvaire et anonyme ou nous agissons mécaniquement... (je simplifie..)...dans ces désordres , l'énergie est le point clé des interactions...

Mireille,
J'ai vu votre travail et la recherche de votre réalité en fait partie, c'est superbe...
AkoZ
Re :A MBC from AkoZ
Il y a 20 ans
Chère Mireille, en ces moments indélicats de troubles authentiques, je vous écris après une vive prise de conscience:
Bon, et ben dites-moi, il faudrait pas se laisser aller !!!! ASSEZ, de auto-psychologie à deux balles, et retournons au boulot, il n'est pas prévu que qu'elqu'un vienne bosser à ma place. (rires)
Effectivement, c'est le moment de bien terminer la semaine et je suis content de savoir que certain ne perdent pas pied... désolé de ces débordements, je trouverai bien des pansements qque part...

cordialement à vous
AkoZ°om
MBC
Re :A MBC from AkoZ
Il y a 20 ans
merci Akoz, je crois que je vais encore pouvoir résister aux démons cette fois-ci, et que le weel-end sera le bienvenu pour les repousser un peu plus.
Mireille

----- AkoZ a écrit -----

Chère Mireille, en ces moments indélicats de troubles authentiques, je vous écris après une vive prise de conscience:
Bon, et ben dites-moi, il faudrait pas se laisser aller !!!! ASSEZ, de auto-psychologie à deux balles, et retournons au boulot, il n'est pas prévu que qu'elqu'un vienne bosser à ma place. (rires)
Effectivement, c'est le moment de bien terminer la semaine et je suis content de savoir que certain ne perdent pas pied... désolé de ces débordements, je trouverai bien des pansements qque part...

cordialement à vous
AkoZ°om
anne
Re :The new wave...
Il y a 20 ans
Bonjour à toutes et à tous.
Nouvellement arrivée également (deux heures...) je profite du petit mot de bienvenue malgré tout. Je ne sais pas si je serai digne de la qualité mise en vergue ici mais j'essaierai de ne point faire tache ou boulet...
anne

----- Pat.Alizarine a écrit -----

Bonjour a tous

Arrivé depuis février, je ne sais si ancien ou nouveau je suis.
Une chose est sure, comme aurait dit Lovecraft, Grands Anciens je ne suis pas.

Sur ce forum on y trouve des fous et aussi des sages, et curieusement le flots de arrivants respecte cet équilibre.
De grandes envolées lyriques, echanges agressifs, observations timides, des propos subtils, les petits nouveaux ont déjà choisi.

Enfin bref, je remercie a mon tour les foromeuses et les foromeurs, (en passant par ludo que l'on n'entend pas souvent), pour l'animation graphique et verbale a laquelle je deviens dangereusement acro.

PP

----- pefusho a écrit -----

Bsr à tous,
J'assiste sur ce forum, depuis quelques jours, à un phénoméne interessant : l'arrivée de nouveaux amis sympathiques et pertinents.
Franse, Tidus, Titounou, Le furtif, Flaoua, AkoZ...Si j'en oublie, qu'ils m'excusent.
Ils donnent leur avis sans se préocupper de l'antériorité de respectables anciens qui ont dit ceci il y a 2 ans et à qui on a répondu celà, ce qui fait que désormais pour bien comprendre leurs post, il faut tenir compte de ce vénérable historique.
Eux disent : on aime, on n'aime pas.
Moi, j'aime bien.
Nombre d'entre eux nous montrent de vrais talents.
Perso, je leur souhaite une trés sincére bienvenue.
Réjouissons nous de ce brassage vivifiant, signe de la bonne santé de ce forum.
Pefusho.
Nb - Ce que je vous poste est livré plutôt comme un constat que comme une discussion, aussi pour ouvrir le débat je vous demanderai plutôt : que pensez vous de cette sympathique "new wave"?
Er pour élargir un peu plus la discussion , je demanderai à nos nouveaux amis : que pensez vous de notre forum?



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